Comment lancer un business en ligne qui ne va pas te pourrir la vie

Si aujourd'hui tu as envie de lancer un business en ligne, soyons clairs : ce n’est certainement pas pour te pourrir la vie.

Je parie que si l’idée te trotte dans la tête, c’est parce que :

• Ton job actuel ne te fait pas rêver

• Tu veux donner un coup de boost à ton activité hors ligne

• Ou tu cherches à arrondir tes fins de mois avec un revenu supplémentaire

Bref, tu cherches plus de liberté, pas une nouvelle prison.

Et pourtant, un business en ligne, comme n'importe quel business, peut très vite basculer dans l'un ou l'autre de ces deux scénarios :

• Le rêve : un système bien huilé qui génère de la valeur (et des revenus) sans t’aspirer toute ton énergie vitale

• Le cauchemar : un gouffre à fric et à énergie, où tu passes ton temps à courir partout pour pas grand-chose

Le piège, c’est de te retrouver à donner tout ce que tu as, sans jamais rien récupérer en retour. Et là, tu entres dans une spirale infernale : "Je suis fatigué ? Alors il faut que je travaille encore plus dur !". Et ça ne marche jamais.

Donc, aujourd'hui, on revient aux bases.

Pas aux hacks magiques. Pas aux stratégies “en 24h chrono”. Non.

Aux vraies fondations.

Ça fait maintenant dix ans que je vis de mon business en ligne. J’ai testé des stratégies en pagaille, et surtout, j’ai appris à faire du business en respectant mon énergie. J’ai accumulé des méthodes qui me permettent de construire, de développer et de faire vivre mon activité sans sacrifier ma santé ni mon plaisir.

Et c’est exactement ce que je vais te partager dans cet article.

Pas des promesses en l'air. Pas un énième plan en 10 minutes chrono.

Mais 9 étapes claires pour construire un business en ligne qui va te soutenir — pas t’épuiser.

Étape 1 : Clarifie ce que TU veux vraiment (pas ce que les autres veulent pour toi)

Quand on parle de business en ligne, il faut bien comprendre une chose : tout le monde a sa propre idée de ce que veut dire "être libre" grâce à un business.

Que ce soit les "vrais" entrepreneurs ou les petits gourous du web, chacun projette sa propre vision :

• Pour certains, la liberté, c’est d’avoir des millions et de s’acheter une Lamborghini.

• Pour d’autres, c’est juste pouvoir bosser en pyjama, sans personne pour leur casser les pieds.

C’est ok. Mais ce qui compte vraiment, c’est la tienne : Pourquoi tu veux lancer ton business en ligne, toi ? C’est quoi ton rêve derrière tout ça ?

Parce que si tu ne fais pas ce travail de clarté au début, tu risques de copier les rêves des autres.

Et copier les rêves des autres, c’est comme porter des chaussures qui ne sont pas à ta taille : ça fait des ampoules, ça fait mal, et surtout… ça ne tient pas sur la durée. Le business, c’est une randonnée. Et pour tenir le coup, il te faut les bonnes chaussures. Celles qui sont faites pour toi.

Avant même de parler stratégie, sois hyper clair sur ce que TOI tu veux :

• Pas ce que veut Antoine BM,

• Pas ce que veut Marie Drouin,

• Pas ce que veulent les influenceurs LinkedIn que tu stalkes tous les matins.

Un exemple perso (parce qu’on ne prêche bien que par l’exemple) :

Mon rêve n’a jamais été de rouler en Tesla ou d’acheter une villa à Bali. Mon moteur, depuis le premier jour, c’était :

• Une liberté de temps

• Et surtout, une liberté d’énergie intellectuelle

Je voulais pouvoir m’intéresser à ce qui me passionne, pas à ce qu’un manager me dit de faire parce que "ça rentre dans le plan stratégique de la boîte".

Mon business, je l’ai monté pour pouvoir travailler selon mon propre rythme :

• Travailler à 6h du matin en été parce que le lever du soleil m’inspire

• Me lever à 9h en hiver parce qu’il fait noir, et que franchement, c’est pas humain

Et surtout... pour ne plus jamais avoir à mettre de réveil le matin (c’est un peu une blague, mais pas vraiment).

Alors avant de te lancer tête baissée, prends un vrai moment pour toi :

• Qu’est-ce que tu veux vraiment ?

• À quoi ressemblerait ta vie idéale grâce à ton business en ligne ?

Étape 2 : Choisis ton terrain de jeu naturel (et pas celui des autres)

Ok, maintenant que tu sais pourquoi tu veux lancer ton business, il est temps de réfléchir à comment tu veux le faire. Là encore, c’est d’abord toi qu’on va écouter.

Parce que si, à la base, tu ne kiffes pas ce que tu fais, ça ne tiendra pas.

Choisir ton médium principal : écrire, parler ou filmer ?

En business en ligne, il y a autant de façons de faire que d'entrepreneurs :

• Certains écrivent des milliers de mots sur leurs blogs (coucou!)

• D'autres parlent pendant des heures en podcast

• D'autres encore font des TikToks à la chaîne comme si c’était naturel

Le point commun entre ceux qui durent ? Ils partent du médium qui leur ressemble. Parce que quand tu t'ennuies en créant du contenu, tes visiteurs, eux aussi, ils s'ennuient. C'est contagieux, cette affaire. Alors s'il te plaît : choisis TON terrain de jeu naturel.

Ton énergie naturelle, c’est ton raccourci vers la constance.

Petit aparté pour les amoureux des mots (comme moi)

Si, comme moi, tu es plutôt du genre à aimer écrire, (et que l’idée de monter une vidéo te donne de l’eczéma émotionnel)…

J’ai créé Blog Express : une formation pour t'aider à créer du contenu écrit facilement, sans te noyer dans la technique ou vendre ton âme à la dernière tendance TikTok.

Avec Blog Express, tu apprendras à :

• Utiliser l'intelligence artificielle pour t'aider à écrire plus vite (sans perdre ta touche perso)

• Trouver ton style

• Et surtout, finir tes projets (parce que commencer, c’est bien, mais finir, c’est encore mieux)

Si tu rêves d’écrire des articles de blog, des newsletters, bref, de parler au monde avec tes mots, ça pourrait être exactement ce qu’il te faut pour démarrer du bon pied.

Étape 3 : Sors des trucs. Sérieusement.

Ok, on a pris deux décisions. C’est déjà génial. Mais soyons honnêtes : ce n’est pas en prenant des décisions qu’on construit un business.

Ce qui fait avancer le schmilblick, c’est l’action.

Première étape d’action : sortir quelque chose

Quand je dis "sortir quelque chose", je parle de n’importe quoi :

• Un article de blog

• Une vidéo YouTube

• Un épisode de podcast

• Ton premier petit produit digital

• Une note sur Substack

• Même un post LinkedIn si tu veux

Mais sors un truc. Mets quelque chose dehors. Même si ce n’est pas parfait. Surtout si ce n’est pas parfait.

L’histoire qui se répète

En coaching, j'ai tellement souvent ce scénario : Quelqu’un arrive tout fier et me dit : "Marie, j'ai mon plan béton ! Première formation, premiers produits, upsell, coaching VIP, puis un mastermind international, puis la création d'un empire..."

Je pose une seule question : "Super, mais… ils viennent d’où les clients ?"

Parce que sans présence en ligne, sans contenu, sans preuve que tu EXISTES pour eux, il ne se passera rien. Et RIEN, c’est pire que tout pour ton énergie.

Et même si, dans six mois, tu regardes ton premier article et que tu te dis "mon dieu mais quelle horreur", au moins, tu auras commencé. Et c’est ce qui compte.

Alors vas-y :

• Poste ta première vidéo (même si personne ne la regarde)

• Publie ton premier article de blog (même si ta mère est ton unique lectrice)

• Propose ta première session de coaching (même si tu bafouilles un peu au début)

L’important, c’est de mettre en ligne, de proposer, d’oser.

Étape 4 : Crée un système simple (pas un monstre à 18 têtes)

Maintenant que tu as pris l’habitude de sortir des trucs, on peut commencer à réfléchir à comment rendre tout ça un peu plus fluide.

Parce que oui, publier du contenu, vendre, publier encore, vendre encore… c'est super. Mais si tu dois tout faire manuellement tous les jours, au bout d’un moment, même ta motivation la plus solide va commencer à tirer la tronche.

Donc : bienvenue dans l’étape de la simplification.

Objectif de l’étape 4 : construire un système simple

L’idée, c’est de créer un petit système qui t’aide à :

• Sortir du contenu régulièrement

• Vendre régulièrement

Sans y passer ta vie.

Comment on fait ?

Tu peux utiliser des outils tout-en-un simples, comme par exemple Podia. (C’est ce que j’utilise pour mon site, et clairement, ça m'a sauvé beaucoup de temps et d'énergie.)

Avec Podia, je peux :

• Avoir mon blog

• Envoyer ma newsletter

• Vendre mes produits

• Gérer ma communication

Le tout au même endroit.

C’est assez flexible pour laisser libre cours à mes envies, sans tomber dans le piège des outils ultra-techniques où tu passes plus de temps à comprendre le logiciel qu’à créer du contenu.

Attention au piège du "grand tunnel de la mort"

Je t’en supplie : ne pars pas dans la construction d'un tunnel de vente en 18 étapes avec 36 emails, 5 PDF gratuits, 2 mini-formations et une méditation guidée offerte.

Parce que :

• Quand on débute, ça prend des mois à construire.

• Ça pompe toute ton énergie.

• Et souvent... ça ne fonctionne pas.

Pourquoi ? Parce que personne ne sait encore qui tu es. Parce que tu n’as pas encore suffisamment de gens pour traverser ton "grand tunnel de la mort". Et parce que ce qui vend au début, ce n’est pas ton tunnel. C’est toi.

Et si tu veux vraiment creuser pourquoi un tunnel de vente ultra-complexe n’est pas ton ami au début, j’ai écrit un article complet sur le sujet.

À partir de maintenant, tu construis du simple, du solide, du durable.

Étape 5 : Organise-toi pour survivre (mentalement, pas juste financièrement)

Ok, là on entre dans une étape hyper, hyper importante. Vraiment, si tu ne dois retenir qu’une seule étape après avoir lu cet article, garde celle-là.

Maintenant que tu as :

• Ton contenu qui sort régulièrement

• Ton petit système de vente qui tourne

... il va falloir t'organiser pour durer.

Parce que non, ton business ne doit pas juste être rentable. Il doit être vivable. Et beaucoup d'entrepreneurs, même des très bons, zappent complètement cette étape. Ils pensent qu’ils tiendront bon juste à la force du mental, “no pain no gain”. Et ça ne se finit pas bien.

C’est maintenant qu’il faut t’organiser pour survivre.

Ton organisation doit être alignée avec :

• Ta personnalité

• Ton énergie

• Ton mode de fonctionnement naturel

Comment tu fais ça concrètement ?

Déjà, reviens à ce que tu t'es dit en Étape 1 : Pourquoi tu fais tout ça ? Quelle est ta vision de ta vie idéale ?

Ensuite, adapte ton organisation en fonction de qui tu es réellement :

• Introverti ? Ne te colle pas 36 rendez-vous par jour. Travaille dans ton coin. Garde du temps off. Protège ton énergie comme un trésor.

• Extraverti ? Ne t’enferme pas dans un bureau tout seul pendant 8h. Organise des collaborations, parle avec des vrais gens, nourris ton feu social.

Et surtout :

• Garde du temps pour tes vraies sources d’énergie : Chez moi, c’est composer des chansons au piano, aller marcher au cimetière (ne juge pas), et acheter du basilic en pot qui va mourir dans les prochaines 48h.

Chez toi, ce sera peut-être autre chose. Mais prends ce temps. Dès maintenant.

Étape 6 : Pérennise ton business en parlant cash (littéralement)

Ok, on a parlé du mindset. On a parlé de l’organisation. Maintenant, parlons de ce qui fait que ton business va tenir ou non : le cash.

Parce qu’aussi noble que soit ton projet, si aucun cash ne rentre, ton business va se transformer en hobby — et ton hobby en source de stress.

Pérenniser = Diversifier

Une des clefs pour assurer la survie de ton business sur le long terme, c’est la diversification. Oui, je sais, aujourd'hui on entend partout que "tu dois te focus à fond sur un seul truc".

Mais laisse-moi te dire un truc simple : si tu mets tout sur un seul canal, tu te mets en danger.

Exemples ultra-classiques :

• Tu vends uniquement des e-books sur Amazon ? Super... jusqu’au jour où Amazon change ses conditions de vente.

• Tu fais uniquement de la formation en ligne ? Nickel... jusqu’au jour où l’État décide de mettre une TVA à 50% dessus.

Et attention, je ne dis pas ça pour te faire flipper. C’est juste la vie : tout change, tout bouge, surtout sur Internet. Donc on anticipe. On diversifie.

Comment tu peux te diversifier intelligemment ?

• Tu fais de la formation en ligne

• Un peu de coaching à côté

• Un peu de revenus d’affiliation

• Peut-être quelques revenus publicitaires si tu fais du YouTube ou du blogging

Ça n’a pas besoin d’être énorme partout. Mais ouvrir plusieurs robinets, même petits, te donne de la marge de manœuvre.

Et puis, tu adaptes selon la période :

• Si la formation cartonne en ce moment ? Tu pousses ta formation.

• Si le coaching reprend le dessus ? Tu ouvres plus de créneaux.

• Si l’affiliation baisse ? Pas de panique, t’as d’autres sources qui tournent.

Ne mets pas tous tes œufs dans le même panier. Même si ce panier a l’air solide aujourd'hui. Même si tout semble rouler. Diversifie. C’est un des meilleurs conseils que je peux te donner pour tenir non pas 6 mois, mais 6 ans. Et plus.

Étape 7 : Respecte ton temps, ton énergie… et impose tes limites

On revient à un truc fondamental : Ton temps, ton énergie et ton respect, c’est la vraie richesse de ton business.

Oui, d’accord, ce n’est pas directement du cash. Mais crois-moi : ça se transforme en cash. Parce que si tu ne protèges pas ton énergie, ton temps et ton respect, tu vas t’épuiser à petit feu — et ton business s'effondrera avec toi.

Alors écoute bien ce que je vais te dire : Il va falloir que tu sois DUR avec tes clients.

Je suis la première à avoir voulu être gentille, aidante, arrangeante, mais…

Plus tu avances, plus tes limites doivent être strictes

Parce que sinon :

• Tu vas passer des heures à répondre à des gens qui n’achètent jamais.

• Tu vas te retrouver avec des clients qui abusent du support.

• Tu vas travailler avec des personnes qui te bouffent ton énergie sans même s’en rendre compte.

Ce n’est pas qu’ils sont méchants. La plupart du temps, ils ne savent même pas qu'ils abusent. C’est à TOI de leur poser des limites.

Quand j’ai commencé, j’ai fait toutes les erreurs classiques :

• Travailler avec des clients sous-payés pendant des mois (au lieu d’un mois, on s’est retrouvés à bosser ensemble... un an et demi. Oui, UN AN ET DEMI. Sur un projet de site web. Cauchemar.)

• Donner trop de liberté, trop de temps, trop de "pas de souci, prends ton temps", résultat : projets qui s’étirent à l’infini.

• Ne pas oser dire aux clients : “Là, il faut avancer” ou “Là, c’est terminé”.

Ça dessert tout le monde.

Même eux, ils s’épuisent, ils doutent, ils n’avancent pas. Alors qu’avec des limites claires, ils auraient été mieux guidés. Être gentil, ce n’est pas dire oui à tout. Être gentil, c’est aussi savoir dire : “Stop, là on avance.”

Comment poser tes limites concrètement ?

• Si quelqu’un te demande du conseil gratuit, et que tu as une formation ou un service qui répond à sa question. Dis-lui franchement : "Super question ! J’y réponds en détail dans ma formation [X]. Franchement, ça te fera gagner un temps fou."

• Si un client abuse du support, ne laisse pas traîner. Explique-lui calmement ce qui est prévu dans ta prestation, ce qui ne l’est pas, et comment avancer sereinement. S’ils traînent, c’est surement qu’ils ont besoin de ça.

Étape 8 : Trouve TES outils et deviens ultra-flexible

Là, on arrive au cœur de mes compétences. C'est par la technique que je suis arrivée dans le business en ligne.

Et laisse-moi te dire un truc simple : La technique et les outils, c'est magique... à condition qu'ils soient vraiment au service de ta liberté.

Quand tu trouves les bons outils pour toi, que tu acceptes leurs contraintes, et que tu apprends à travailler avec eux (et non contre eux), c’est là que tu deviens vraiment créatif. Genre, vraiment.

Le pouvoir des bons outils

Je l'ai vu mille fois avec mes clients : Je leur mets leur site sur Podia, je leur montre comment s'en servir... Et là, révélation : "Marie, maintenant j’ai plein d’idées ! On pourrait faire ça ! Et ça ! Et ça !"

Parce que quand tu maîtrises ton outil, tu retrouves ton pouvoir de création.

Tu n'es plus bloqué par la technique. Tu peux suivre ton énergie du moment, tes idées folles, tes envies. Et c’est comme ça qu’un business devient vivant, évolutif, et ultra-personnalisé.

Mais attention : reste souple.

Les outils, ce sont des moyens. Pas des prisons.

Tu n'es pas obligé d'utiliser les outils à la mode. Tu n'es pas obligé de rester coincé avec un système qui ne te correspond plus. Les outils doivent servir ton business, pas l'inverse.

Mon stack technique (simple et efficace)

Pour un business en ligne simple, flexible, humain, voici ce que je recommande (parce que je l’utilise moi-même) :

• Podia → pour ton site web, la vente de tes formations, ton blog, ta newsletter

• Calendly → pour vendre ton coaching, prendre des rendez-vous facilement

• Notion → pour organiser ton business, tes idées, tes contenus

Et c’est largement suffisant.

Pas besoin de 15 logiciels différents, de 18 automatisations, et d’une équipe de développeurs derrière toi.

Un bon outil + une bonne stratégie = un business qui respire.

Étape 9 : Prends ton business au sérieux… mais pas toi-même

Voilà, on y est. Dernière réalisation, dernier point fondamental. Ton business est important. C’est ton moteur d’indépendance, c’est ce qui te donne de la liberté, c’est ce qui, au final, change ta vie.

Donc oui, tu dois le prendre au sérieux :

• Tu fais ce qu’il faut pour que ça marche.

• S’il y a un truc qui coince, tu mets les mains dans le cambouis.

• Tu apprends, tu t’améliores, tu te formes, tu expérimentes.

• Tu restes toujours en mouvement.

Parce que ton business, tu le respectes.

Mais (et c’est un grand mais) : tu n’as pas besoin de te prendre toi-même au sérieux.

C’est vital. Parce qu’à partir du moment où tu te mets en mode "Je suis en train de changer la face du monde," c’est foutu :

• Tu montes la pression.

• Tu paniques.

• Tu veux tout faire parfaitement.

• Et au final... tu bloques.

Je préfère largement me dire : "Je suis en train de faire CE truc précis, pour CET objectif précis.". Et je m’oublie un peu dans le processus.

Rappelle-toi :

• Personne ne meurt d’un lancement raté.

• Ce n’est pas grave de tester.

• Ce n’est pas grave de se planter.

• Ce n’est pas grave de recommencer.

L’important, c’est de continuer d’avancer. Sans se prendre pour Dieu.

Le vrai but, c’est d’aimer encore ton lundi matin.

Pas de bosser sous une pression monstrueuse en mode "c’est MA mission cosmique sur Terre". Le vrai objectif, c’est :

• Que ton business te ressemble

• Qu’il te soutienne

• Qu’il te laisse respirer

• Et qu’il t’emmène plus loin, sans te brûler les ailes

Si tu oublies ça, tu risques de créer un business qui ne te sert pas, qui n’aide pas vraiment les autres non plus, et qui te vide peu à peu de ton énergie.