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- Par Victor Mornay, auteur des Murmures du Néant.
Il y a une chose qu’on ne vous dit pas sur l’horreur.
Ce n’est pas le sang qui fait peur. Pas les monstres non plus. Pas vraiment.
Ce qui fait peur, ce qui vous colle une sueur glacée dans le dos, c’est ce qui se tapit entre les lignes. L’attente. L’ombre au pied du lit. Le craquement dans le plancher alors que vous êtes seul chez vous…
Et si vous pouviez capturer cette sensation et la distiller dans un roman ?
Mais avant d’aller plus loin, je dois vous prévenir…
L’écriture d’un roman d’horreur n’est pas sans conséquences.
Vous allez passer des nuits blanches. Vous allez commencer à entendre des bruits que personne d’autre ne perçoit. Une porte qui grince alors qu’il n’y a pas de courant d’air. Un murmure au coin d’une pièce vide.
Vous penserez que ce ne sont que des hallucinations. Jusqu’à ce que ce ne le soit plus.
Écrire de l’horreur, ce n’est pas juste jouer avec les mots. C’est ouvrir une porte qu’il ne faut peut-être pas franchir. Une fois que vous aurez mis le pied dedans, il sera trop tard pour faire marche arrière.
Vous pourriez abandonner maintenant. Il n’y aurait aucune honte à cela.
Vous pourriez écrire des histoires plus légères. Une belle aventure avec des fins heureuses, une romance sous la pluie, un feel-good à lire au coin du feu...
Non ? Alors, allons-y.
Je m’appelle Victor Mornay. Je n’ai pas commencé ma carrière en pensant devenir un maître de l’horreur. Comme tout le monde, j’avais des cauchemars, sauf que moi, j’ai décidé d’en faire quelque chose. Mon premier roman s’est écrit en un été, dans une cabane où le bois craquait tout seul la nuit. Aujourd’hui, mes histoires font sursauter les lecteurs du monde entier.
Vous voulez apprendre comment ?
Pourquoi certaines histoires vous collent aux tripes : L’horreur, ce n’est pas un tas de sang et d’entrailles. C’est une tension qui vous étrangle lentement.
Comment faire d’un endroit banal un piège à cauchemars : Une cuisine. Une rue vide. Un grenier poussiéreux. Les meilleurs décors ne sont pas ceux qu’on imagine.
Construire un monstre qu’on n’oublie jamais : Pas besoin d’un démon cornu. Parfois, un sourire un peu trop large suffit.
Rythme, tension, payoff : Ce qui fait que vos lecteurs restent accrochés… et regardent sous leur lit avant de dormir.
L’horreur psychologique et la peur qui ne dit pas son nom : Parfois, ce n’est pas ce qu’on voit qui fait peur, mais ce qu’on ne voit pas.
Techniques d’écriture qui font monter la tension : Couper les phrases au bon moment, choisir le bon mot, le bon silence.
Vendre son roman d’horreur sans vendre son âme : Trouver un éditeur, bâtir une audience, se faire un nom sans être « le mec qui copie Stephen King ».
Parce qu’on va travailler sur de vraies histoires : Vous allez écrire. Beaucoup. Et vous allez apprendre à foutre la trouille à quelqu’un rien qu’avec un paragraphe.
Parce que ce n’est pas un cours académique, c’est du terrain : Je vous parle de ce qui marche. De ce qui m’a fait flipper moi-même en écrivant.
Parce que la peur, c’est une science et un art : Vous apprendrez à doser, à créer des moments inoubliables, à faire monter la tension sans jamais relâcher la prise.
Et parce que le frisson, c’est une drogue : Une fois que vous aurez compris comment l’injecter dans vos mots, vous ne pourrez plus vous arrêter.
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Je pensais que je savais écrire l’horreur… jusqu’à ce que je comprenne à quel point j’avais tort. Ce cours m’a mis la tête à l’envers.
Victor Mornay vous apprend à faire flipper quelqu’un sans même lever la voix. C’est magistral.
Rejoignez la masterclass dès maintenant… et découvrez ce qui se cache sous la surface.
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